Marion Zimmer Bradley. Si vous avez fréquenté les rayonnages Science-Fiction & Fantastique (SFF) de votre libraire, vous connaissez certainement ce nom.
Ce que vous savez peut être moins, c’est que MZB était une militante féministe et est devenue une icône LGBT, en raison de ses positions pro-lesbianisme.
Ce que vous ne savez probablement pas, c’est que MZB était une pédophile et une mère (lesbienne) abusive, et qu’elle a livré ses enfants à son mari, homosexuel, pédéraste (on appelle ça « éphèbophile », aujourd’hui), et surtout, un pédophile militant ayant publié une revue promouvant « l’exploitation sexuelle des enfants impubères » (la pédophilie, pour les deux du fond qui suivent pas). Il a écrit et publié (!) un livre sur le sujet, et abusé de nombreux enfants et adolescents.
Non seulement MZB savait que son mari était pédophile avant de se marier avec lui et a largement fermé les yeux (voire participé!) sur son comportement dégénéré sur leurs enfants biologiques (et sur d’autres, notamment un adolescent de 14 ans que son mari violait sous leur toit), mais elle a elle-même torturé psychologiquement sa fille biologique pour la dissuader d’être hétérosexuelle et la forcer à un pseudo-lesbianisme militant.
Le mari de MZB est mort en prison, mais elle est morte « paisiblement », sans jamais répondre de ses crimes. Sa fille a écrit un livre où elle raconte le calvaire qu’elle et son frère ont subi au nom du militantisme qu’on disait à l’époque « féministe », et qu’on qualifierait aujourd’hui de queer/LGBT.
Le plus horrible, c’est que ces abus ont été commis pendant des décennies, à partir de la fin des années 1950 jusque dans les années 1980, et que la « communauté de fans » était au courant, sans rien dire ou dénoncer.
Sous le pseudonyme de Moira Greyland, la fille de Marion Zimmer Bradley explique dans son livre avoir parlé à de nombreux autres enfants élevés dans des familles « LGBT/Queer/Féministes », et que son histoire est très semblable à celle des « survivants » avec lesquels elle a pu discuter. Elle explique que contrairement à ce qu’on lui répond généralement, à savoir qu’il s’agissait d’une autre époque et que tout a changé, les abus sexuels subis par les enfants élevés dans des familles de ce type sont toujours aussi répandus et sont encore plus dissimulés, au nom du politiquement correct.
« Tous les enfants élevés dans des couples de même sexe ont souffert de l’absence d’un parent du sexe opposé, et tous, nous avons été « sexualisés » (confrontés à la sexualité) beaucoup trop tôt dans notre développement personnel ».
L’un des quelques articles sur ce sujet spécifique:
https://www.lifesitenews.com/…/daughter-of-famed-sci-fi-aut…
Le livre de Moira Greyland (non traduit, autopublié) :
https://www.amazon.fr/Last-Closet-Dark-Side-Av…/…/9527065208